Recherche par auteur : Horem, Elisabeth
3 résultats.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 5h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15047
Résumé:…Commencé par une rêverie «à partir de rien», ce roman vaut par son art subtil de la narration, ses bribes de phrases ou ses images qui reviennent, à chaque fois semblables et à chaque fois différentes, comme si une histoire ne pouvait jamais se raconter d'un seul point de vue, forcément réducteur, mais qu'elle devait rester ouverte à tous les possibles. En témoigne le projet final formé par Julio, le petit Français, de retrouver Maria et de «reconstruire ensemble nos histoires incomplètes... cependant qu'au-dehors une averse grise battra les vitres et que sur le dallage inégal de la terrasse le vent troublera dans les flaques le reflet des balustres». (Isabelle Martin / Le Temps)
Lu par : Martine Moinat
Durée : 3h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13913
Résumé:«En l'espace de quelques minutes Louise venait de lui annoncer des faits nouveaux pour lui et fort désagréables», ainsi commence Le Ring, semblant promettre une cascade d'événements qui entraîneront la lecture. C'est le cas dans les toutes premières pages: Quentin, ayant découvert sa maîtresse sur le point de partir avec son frère (à lui) en Amérique et de l'y épouser, part lui-même pour Tahès, «au hasard», répondant à une obscure offre d'emploi. Mais, passés la déclaration ultrarapide de la rupture et le coup de tête qui propulse le héros dans le tiers monde (au sens physique et métaphysique du terme), le roman aussitôt s'englue dans une sorte d'attente, ou de vide, de permanente béance qu'un style sobre et sans faille excelle à représenter.
Lu par : Danielle Crot
Durée : 3h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13938
Résumé:La romancière suisse Elisabeth Horem a rejoint son mari diplomate en poste à Bagdad. Avec une douceur implacable, elle décrit dans Shrapnels l'existence quasi cloîtrée qu'elle y mène depuis une année, sous la menace quotidienne des attentats. Une année d'existence à Bagdad. Une année d'observation, de vie malgré tout, malgré la violence, malgré la peur. Une vie faite de choses minuscules, d'espoirs, de découragements et des saisons qui passent... Elisabeth Horem n'a pas écrit un reportage. Il ne s'agit pas non plus d'un journal, mais de la transcription de ce qu'elle a vu et entendu, de ce qu'elle a pu ressentir.